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Extrait:par Leigh Thomas PARIS (Reuters) - La croissance de léconomie française devrait ralentir au premier
par Leigh Thomas
PARIS (Reuters) - La croissance de léconomie française devrait ralentir au premier trimestre sous leffet de la vague épidémique liée au variant Omicron, avant de reprendre de lélan au printemps, estime lInsee dans un point de conjoncture publié mardi.
Après avoir progressé de 0,7% lors des trois derniers mois de 2021 par rapport aux trois mois précédents, le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait augmenter de 0,3% sur la période janvier-mars.
Le rythme de croissance de léconomie française devrait ensuite doubler au deuxième trimestre, à 0,6%, alimenté par un rebond de la consommation des ménages sur fond damélioration attendue de la situation sanitaire.
Pour lInsee, les conséquences économiques de la dégradation de la situation sanitaire liée à lémergence du variant Omicron du coronavirus SARS-CoV-2 à la toute fin 2021 paraissent plutôt circonscrites et se révéleraient essentiellement temporaires, dautant quune partie des restrictions mises en place pour faire face à cette nouvelle vague épidémique sont sur le point dêtre levées.
Depuis deux ans, les effets économiques des vagues successives sont allés en samenuisant, grâce à ladaptation des comportements et à la vaccination, souligne linstitut.
Dans ses précédentes prévisions économiques, publiées en décembre avant lémergence en France de cette cinquième vague de lépidémie de COVID-19, lInsee sattendait à ce que lactivité économique progresse de 0,4% au premier trimestre et de 0,5% au deuxième.
Avec des prix pétroliers significativement supérieurs aux hypothèses retenues dans ses précédentes prévisions, lInsee table également désormais sur une poursuite de la hausse de linflation au cours du premier semestre, alors quelle sattendait auparavant à ce quelle reste relativement stable.
La progression des prix à la consommation en glissement annuel, estimée à 2,9% pour le mois de janvier et anticipée à 3,3% pour février, devrait atteindre 3,4% en juin.
Linflation a cependant été significativement contenue par les mesures de bouclier tarifaire sur les prix du gaz et de lélectricité mises en oeuvre par le gouvernement, sans lesquelles la prévision dinflation pour février aurait été rehaussée dau moins un point de pourcentage.
(Reportage Leigh Thomas, version française Myriam Rivet, édité par Sophie Louet)
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